Privé de locaux et de subventions, le collectif autogéré Mix’art Myrys, créé en 1995, risque de disparaître, malgré une action reconnue de longue date. Une situation qui touche d’autres tiers-lieux de la ville, sous pression foncière.
Libération, par Annabelle Martella publié le 2 février 2021 à 22h29
Lire l’article en ligne (accès restreint aux abonnés) sur https://www.liberation.fr/culture/a-toulouse-la-politique-de-la-friche-brulee-20210202_SM4TWVF6GFBCLOBW5OYR6M6USE/