Privé de locaux et de subventions, le collectif autogéré Mix’art Myrys, créé en 1995, risque de disparaître, malgré une action reconnue de longue date. Une situation qui touche d’autres tiers-lieux de la ville, sous pression foncière.

Libération, par Annabelle Martella publié le 2 février 2021 à 22h29

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